Mais Howard Johnson sut aussi s’adapter à des musiques différentes du jazz : le blues (Taj Mahal, Muddy Waters, BB King) le rhythm’n’blues (Marvin Gaye) et le rock (John Lennon, The Band – on l’entend et on le voit même un peu dans le film The Last Waltz, de Martin Scorsese). Et on ne saurait les citer tous.
En tout, il a enregistré plus de cinq cents albums !
A part cette prodigieuse activité, Johnson a fondé son propre groupe : Substructure, qui devint Gravity en 1972, et enregistré quatre albums solos : Nubia’s Arrival (1995), Gravity !!! (1996), Right Now ! (1997) et enfin Testimony (2017).
Pour se faire une idée de la diversité de son talent, il est recommandé d’écouter : Liberation Music Orchestra, de Charlie Haden, Gil Evans Plays Jimi Hendrix, de Gil Evans, Let My Children Hear Music, de Charles Mingus, Miles And Quincy Live at Montreux, de Miles Davis ; et aussi The Last Waltz déjà cité, The Real Thing, de Taj Mahal, The Muddy Waters Woodstock Album et encore Walls And Bridges, de John Lennon, pour n’en citer que quelques-uns. Excusez du peu !
Par Etienne
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